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TURQUIE |
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LE
"Günaydin" (bonjour) des GLOBE-BIKERS : |
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Une
symphonie de klaxons salutaires annonce notre passage en Turquie
et nous accompagne jusqu'à ISTANBUL.
Nos journées sont rythmées par les invitations à
siroter un çai (thé), échanger des
regards, des paroles, avec un berger, un marchand de tapis, un gérant
de bistrot ou des veillards assis autour d'une table à regarder
passer le temps avec le portrait bruni d'ATTATURK accroché
au mur et dans leurs coeurs. ATTATURK, homme emblématique
et incontournable créa l'état de Turquie et révolutionna
le pays en adoptant l'alphabet latin et en pronant l'occidentalisation
du pays pendant son règne.
Ci-contre et ci-dessous : ISTANBUL où PASCAL GAUTHIER
est venu partager avec nous quelques expériences sympathiques
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ISTANBUL
ci-dessus et à droite (anciennement CONSTANTINOPLE)
est une ville magique qui se réveille au son des muezzins,
pui prend vie et respire au rythme du bazar tentaculaire de la vieille
ville, sous l'oeil imaginaire du sultan dans son palais TOPKAPI
qui observe le va-et-vient des fidèles à la MOSQUEE
BLEUE et SULEYMANAYEponctué par les cornes de brume des bateaux
sur le BOSPHORE, passage obligé entre l'occident et l'orient. |
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ci-contre
: parc d'oiseaux migrateurs entre NALLIHAN et CAYIRHAN
Jusqu'à ANKARRA, nous sillonons les vallées tapissées
de cultures, les plateaux jaunes de blé qui se jettent au
loin dans l'azur, et les crètes pelées par le vent.
Au sud d'ANKARRA : la CAPPADOCE, joyau de dame nature qui affiche
la splendeur de son univers minéral sculpté par le
temps et l'eau, déchirant le ciel. Sur notre chemin, nous
croisons le berceau de la civilisation turque à l'est d'Ankarra
: HATTUSA, cité antiquedu peuple Hittite et son atmosphère
de ruines grises où les souverains conquérants allaient
défier les grands pharaons d'Egypte.
Nous empruntons ensuite la route du Nord-Est, traversons CORUM et
ses pois-chiche, AMASYA et ses étranges tombeaux en forme
de cloches creusées dans la falaise, puis BAYBURT jusqu'à
ERZURUM où s'étendent les immenses plateaux d'ANATOLIE,
nus comme la main, et ses terres qui ondulent comme un papier séché.
Et toujours l'hospitalité, le thé, la curiosité
pour l'étranger...
... mais déjà, au loin, le territoire turc prend fin
sous la garde de sa sentinelle en col blanc qui balance sa tête
dans un écrin bleu : AGRI DAGI (le mont ARRAT) nous annonce
l'IRAN... |
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